A VENDRE Cliquez sur les liens sous les photos pour agrandir celles-ci ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ A PROPOS D' ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
Photo parue dans le Post du 1937 12 25 Le Saturday Evening Post rendait parfois hommage à ses auteurs et illustrateurs et ce fut le cas pour Anton Otto Fischer dans le Post du 1937 12 25 dans la rubrique "
Keeping Post". Beau cadeau de Noel de la part de son employeur, non? Sachant qu'à l'époque, le Post était tiré à près de 4.000.000 d'exemplaires lus par 10 fois plus de gens, il était difficile dans ces conditions de rester inconnu. Et puis, le Post montrait le visage de ceux à qui il consacrait un article. Aussi, bon nombre de lecteurs découvrirent enfin
le visage de celui qui savait si bien peindre la mer, et ils s'aperçurent aussi que Fischer avait été marin durant de longues années et qu'ainsi, il maitrisait vraiment son sujet de prédilection, la Mer.
Dans cet article du Post, l'éditeur dévoile une anecdote que Fischer lui a relaté dans une lettre.
"En 1902, j'étais marin à bord d'un vaisseau anglais (Le "Gwydyr Castle, voir la page
Fischer 01), et nous venions d'arriver à Tacoma. Nous étions partis de Hambourg via Cardiff, Panama, le Cap Horn, à nouveau Panama jusqu'à Tacoma. Puis nous sommes allés à Callao (Pérou) pour livrer du grain et prendre du sucre pour New York. (Voyage relaté dans le livre de Fischer "
Focs'le Days")
A cette période, la majorité des ports regorgeaient de grands voiliers et un photographe de Seattle avait trouvé le filon en prenant des photos des équipages devant leur voilier. Les marins achetaient la photo souvenir et suspendaient celle-ci dans leur cabine.
Donc, un jour, ce photographe monta à bord et nous proposa de poser pour ces fameuse photos.Il fut un peu déçu de voir qu'aucune photo de bateau n'était accrochée dans les cabines ou dans le carré.
Le second maitre lui dit qu'il y avait à bord un Allemand qui aimait bien faire des aquarelles pendant les voyages. Le photographe m'interpella (car l'allemand en question c'etait Fischer) et me demanda si je voulais bien faire une aquarelle du "
Gwydyr Castle" sous voile. Ce que je fis.
Le photographe prit l'aquarelle et l'emmena avec lui. Quelques jours plus tard, il revint à bord avec 24 photos de cette aquarelle... et nous étions 24 à bord !
Bon, chacun acheta sa copie pour 1$ pièce... moi - l'artiste qui avait réalisé l'aquarelle - inclus !
Depuis, j'ai acquis juste assez d'expérience pour réaliser que j'étais sacrément innocent pour avoir peint l'aquarelle, l'avoir donnée, et devoir payer pour m'en procurer une reproduction photographique !(...)
Mais bon, à cette époque, j'étais un marin, et pas encore un peintre. Je ne voulais pas me poser quelque part, aussi, je repiquai pour un an sur le bateau jusqu'à ce que nous arrivions à New York.
J'ai laissé là les eaux profondes, et je fis des piges à Long Island, sur les yachts de course. Après quelques années de cette activité, et une période où j'ai travaillé pour et avec
A.B Frost, l'illustrateur bien connu, j'avais économisé suffisamment d'argent pour partir à Paris où j'ai étudié l'art au studio de
Jean Paul Laurens. Je n'ai dépensé que 700$ durant ces deux ans, mais j'ai pu développer ma passion pour la peinture."
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AMERICAN BOY 1940 02 Windrider 1935 02 Danger in the Fog Ce magazine, qui avait fusionné en 1929 avec "the Youth's Companion" disparut des kiosques en 1941. (Voir l'histoire de "The American Boy" sur la page "
Autres Magazines 01). Anton Otto Fischer produisit plusieurs couvertures pour ce magazine et en illustra de nombreuses histoires.
Dans toute sa carrière, Fischer est crédité de plus de 1000 illustrations et couvertures pour différents magazines, dont plus de 400 rien que pour le Saturday Evening Post.
Sa première contribution au Post date du 1910 03 19, une illustration pour une histoire écrite par John Flemming Wilson et intitulée "The Bad Egg". Son dernier travail pour le Post fut d'illustrer une nouvelle de Jacland Marmur, "Typhoon Rescue" qui fut publiée le 1956 08 04.
C'est à dire que Fischer collabora au Post pendant 47 ans, autant que Norman Rockwell !
Je vous laisse admirer ce voilier, le "Windrider"...
Pour ce qui est de représenter les dangers de la mer, Fischer s'y connaissait. N'oublions pas qu'il avait parcouru le monde sur un clipper pendant près de huit ans durant sa jeunesse. Il a franchi plusieurs fois le Cap Horn et affronté les pires tempêtes. Il a d'ailleurs relaté ses années de marin dans le livre "
Focs’le Days", paru en 1947 (je vous parlerai un peu plus longuement de ce livre prochainement).
Et il reprit du service pendant la 2ème Guerre Mondiale où il fut engagé à bord du "Campbells" pour escorter les navires marchands Américains contre les sous-marins Allemands. Je vous ai d'ailleurs raconté l'épopée du Campbell's telle qu'elle fut publiée dans le magazine Life du 1943 07 05 (Voir "
Anton Otto Fischer 03").
Les deux marins que l'on voit sur cette couverture d'American Boy viennent juste de découvrir un navire qui sort du brouillard alors qu'ils s'affairent à regagner leur bateau pour vider leur pêche. On voit le regard inquiet du premier marin, tandis que l'autre a l'air plutôt soulagé d'avoir aperçu à temps le navire qui leur fonçait dessus. Il s'assure qu'il n'est plus sur leur route et va reprendre les rames au plus tôt pour aider son compagnon.
Cette couverture a été publiée en 1935, mais en fait, elle semble être une ébauche d'un tableau paru en 1938, intitulé "
Fishing on Grand Banks".
Regardez les différences minimes dans la forme, comme l'attitude des deux marins, leur embarcation, son contenu, les vagues qui lèchent l'esquif, la position des rames, le brouillard. Le navire marchand a été remplacé par un voilier, et une deuxième barque fonce dans le brouillard pour rallier le clipper.
L'dée est la même : le danger. Danger d'une collision, danger de se perdre, danger d'être emporté à tout moment...
Les couleurs sont moins ternes, les détails plus nombreux, et le résultat final est plus "léché".
Il était courant pour les illustrateurs de reprendre un de leurs tableaux ou l'idée d'un autre illustrateur, et de l'adapter en fonction du commanditaire. Il fallait juste être suffisamment doué pour apporter les modifications nécessaires sans que cela n'altère l'idée générale du tableau initial ni que cela ne soit un plagiat éhonté....
Je ne pense pas me tromper beaucoup en prenant l'exemple de Rockwell dont la première couverture pour le Post, "Salutation" du 1916 05 20 a
des ressemblances évidentes avec la couverture du Post de Charles MacLellan du 1913 08 02 . L'apport de personnages supplémentaires et d'accessoires au goût du jour ne masque pas la reprise de l'idée originelle.
Mais bon, cette opinion n'engage que moi, hein?!
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1918 06 20 Fisherman's Luck 1918 11 14 Life - The Irish of it 1913 12 11 The Siren 1918 10 03 Bomb floating in fog 1915 08 22 The Sea Monster Fisherman's Luck, ou la chance du pêcheur ! Fischer se resservira de ce sujet pour illustrer une
pub pour Bibb en 1940. (Voir
Anton Otto Fischer 04).
Deux pêcheurs se demandent bien ce qui'ls ont fait pour mériter cela ! Il n'y a plus qu'à découper le filet au plus vite si ils veulent sauver leur embarcation.. et accessoirement leur vie !
La guerre réserve souvent bien des mauvaises surprises, et celle là en est une, et de taille. Les mines furent très meutrières et touchaient beaucoup de pêcheurs. D'autres s'échouaient sur les plages et consistaient un danger pour la population locale comme nous le rappelle Fischer avec cette autre couverture réalisée pour le Life du 1915 08 12 "
The Sea Monster"
Fischer montrait souvent les dangers de la mer, plutôt qu'une image idyllique. C'est qu'il avait voyagé en équipage sur un voilier pendant plusieurs années, affrontant les océans et leurs tempêtes. Et il servit sur un garde-côte américain pendant la deuxième Guerre Mondiale. (Voir mes autres pages qui lui sont consacrées sur ce site)
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Regardez cette sublime couverture de Life du 1918 11 14 , "
The Irish of it " .
Peinte en 1918, cette triste histoire de la 1ère Guerre Mondiale où le chien, seul survivant de l'attaque du schooner aboie de toutes ses forces contre le sous-marin qui a tué tout l'équipage, dématé le bateau et réduit celui-ci à l'état d'épave.
Pendant la 2ème Guerre mondiale, Fischer peindra un tableau dans le même veine, "
Fight to the Last" où l'on voit, alors que leur bateau sombre et qu'ils commencent à être submergés, quelques marins qui continuent à tirer jusqu'au dernier sur le sous-marin qui les a attaqués.
Voici
deux autres couvertures que Fischer réalisa pour "Life"
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The Siren En 1947 parut le livre "
Focs’le Days" où Fischer racontait l'histoire de ses voyages en bateau à bord du "
Gwydyr Castle" Et l'une des illustrations de ce livre nous montre un marin (vraisemblablement Fischer lui-même) affairé à repeindre la figure de proue du navire.
L'idée de faire ce livre lui vint à la fin des années 1920's, alors qu'il était déjà un peintre reconnu, et très demandé par divers magazines. Mais il avait si peu de temps à consacrer à ce livre, à cause de toutes les commandes qu'il avait par ailleurs et qu'il honorait scupuleusement, que celui-ci ne fut édité qu'en 1947.
Hélas, l'éditeur choisit de présenter les peintures spécifiques à cet ouvrage en noir et blanc, au grand désespoir de Fischer. La seconde édition, réalisée par sa fille en 1987, réintègre les peintures originales en couleurs. Mais Fischer ne vit jamais cette réédition, il nous avait quittés en 1962.
En voici la première édition,
elle est signée et agrémentée d'un dessin original de Fischer lui-même, ce qui rend cet ouvrage sans prix à mes yeux!
Dans la deuxième édition de 1987, la fille de Fischer, Katherine Fischer Sigsbee a publié les peintures originales en couleur.
En attendant, comparez donc
les deux peintres en train de redonner vie à ces figures de proue ! ¤¤¤¤¤
"
Bomb floating in fog" est une couverture spectaculaire où le brouillard va sûrement causer une catastrophe. Regardez ce rendu de la mer, et le réalisme du brouillard. Fischer s'y connaissait, lui qui avait bourlingué autour du monde pendant des années.
Les mines flottantes étaient une calamité pour les marins et les pêcheurs car on ne les voyait que quand il était trop tard. Fischer a souvent traité ce sujet, que ce soit sur la couverture du 1915 08 12 "
The Sea Monster" ou bien sur celle du
1918 06 20 "
Fisherman's Luck" ou sur une
pub pour Bibb parue en 1940
De nombreux navires furent coulés ou endommagés à cause des mines, et les sous marins commençaient également à être vraiment efficaces.
Et tout ça n'est rien à côté de ce qui se passa dans les mers du globe pendant la 2ème Guerre Mondiale.(Voir ma page Anton Otto Fischer 03) ¤¤¤¤¤
The Sea Monster. Encore une couverture effrayante quant aux conséquences possibles pour ces trois petits Hollandais. Ces mines flottantes qui venaient s'échouer sur la plage constituaient un danger permanent pour les habitants du littoral, ainsi que pour les pêcheurs (comme nous le rappellent deux des couvertures précédentes, "
Fisherman's Luck" et "
Bomb floating in fog") Fischer a su rendre l'insouciance des enfants face à ce danger inconnu, mais lourd de conséquences... Mais qui d'autre mieux qu'un marin pouvait alerter la population sur les dangers des mines flottantes?
L'homme ne sait plus quoi inventer pour détruire ses semblables, le problème des mines, ces tueuses invisibles, est toujours d'actualité dans tous les pays en guerre ou qui sortent enfin d'un conflit... Ces mines font des victimes tous les jours, et la France, qui se dit championne des droits de l'homme, et qui milite en faveur de la paix (sic !), est quand même le 3ème fournisseur d'armes au monde, et le champion de la fabrication des mines anti personnel... Va comprendre, toi !...
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Sail Boat Regatta, on est loin des massifs vaisseaux de guerre ou des tâches ardues des marins exposés à toutes les intempéries sur leur clippers... Cette couverture a plutôt les relents de l'opulence, de l'insouciance... Les riches propriétaires s'adonnent aux joies du "match racing" comme on dit aujourd'hui. Cela fait inévitablement penser à la "
Coupe de l'America", sa beauté, mais aussi ses excès de luxe et de performance. La finesse des bateaux fendant les vagues donne une sensation de vitesse incroyable.
Chapeau, l'artiste !
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The Seafaring est une des onze "
couvertures marines" sur les quinze illustrations de couverture qu'il fit pour le Saturday Evening Post. ( Voici les
quatre autres !). Toute la puissance du navire face à la force de l'océan, une illustration caractéristique dans l'oeuvre "militaire" de Fischer.
Marin aguerri, il servit son pays pendant la deuxième guerre mondiale et embarqua comme Lieutnant Commander sur le Garde Côte "Campbell".
La page "
Anton Otto Fischer 03" est entièrement consacrée à cette aventure intitulée "The Cruise of the Campbell".
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Sur les quinze couvertures qu'il fit pour le Post,
Trim the Sails ! est à rapprocher de deux autres illustrations qu'il fit sur le même thème.
L'une était parue dans le magazine "Scribner's" d'Aout 1911 (p.184 à 192)
Fischer y avait illustré une nouvelle intitulée "
Sailing Days" et l'une des quatre illustrations s'intitulait "
Furling the Mainsail" (Ferlant la grand' voile)
Voici d'ailleurs
les autres illustrations de cette nouvelle.
Et puis, en 1947 il put enfin sortir le livre qui était en préparation depuis 1922, "Focs'le Days". La première édition de ce livre comportait des illustrations en noir et blanc, au grand dam de Fischer.
40 ans plus tard, ce livre fut réédité par sa fille Kathryn, mais en reprenant toutes les illustrations originales en couleurs, telles que les avaient peintes Fischer. Et parmi celles-ci, voici "
Furling the Mainsail".
"
Focs'le Days" raconte la jeunesse d'Anton Otto Fischer, et les 8 années qu'il passa comme marin à bord du "
Gwydyr Castle". (Voir la page "
ANTON OTTO FISCHER")
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Toujours pasionné par la mer, Fischer aimait tous les bateaux. Et visiblement, ce "Spanish Galleon" paru en couverture du Post du 1935 03 30 le faisait rêver. Partir à l'aventure vers des contrées inconnues est certainement un souhait qui motive tout jeune marin. Fischer a vogué pendant huit ans à bord d'un voilier, et sa connaissance de la mer l'a beaucoup aidé dans son oeuvre.
Dans cet exemplaire du Post, on trouve également une photo de Fischer. Le Post annonce que son illustrateur sera présent dans les deux prochains N°!
Belle promo, non?!
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POPULAR MAGAZINE 1921-10 Popular Magazine "
The Popular Magazine" a d'abord été un magazine littéraire qui édita 612 N° de Novembre 1903 à Octobre 1931. Il publiait de courtes nouvelles, des fictions, et des feuilletons. Ses articles couvraient de nombreux genres différents et il se définissait comme le "Journal des hommes et des femmes qui aiment lirent à propos de l'Homme "
Journal pour enfants et adolescents au départ, il changea rapidement sa ligne éditoriale pour devenir un magazine plus " adultes ". C'est un des précurseurs de ce que l'on appelle les "
Pulp Fiction Magazines" qui devinrent si importants dans les années 20/50.
La première illustration que Fischer vendit à un éditeur fut pour "Harper's Weekly" en 1909. elle parut sur le N° du 04 Décembre de cette année là.
Cette illustration lança sa carrière et rapidement il fut demandé par d'autres éditeurs. Le Saturday Evening Post publia sa première couverture en 1910. Il fit quinze couvertures pour ce magazine, dont
onze ayant un rapport avec la Mer. Les
quatre autres ont plus trait à des personnages en situation.
Il travailla pour Scribner's ( voir "
Sailing Days" en 1911) et il fit les couvertures de beaucoup
d'autres magazines et d'
autres encore ! Sans compter les illustrations et les pubs que vous pouvez retrouver à travers les quatre pages que je lui consacre. Il aimait aussi beaucoup la nature et certaines de ses illustrations représentent
des scènes de pêche,
des paysages d'hiver,
des paysages de sous bois,
des scènes de chasse.
Et il y mettait souvent de l'humour, comme dans l'illustration ci dessus où le peintre est ulcéré que le chasseur n'ait réussi qu'à plomber son tableau !
A la fin de sa vie, Fischer avait calculé qu'il avait gagné plus de deux millions de dollars grâce à son art. Et les dollars de l'époque avaient une autre valeur que celle de maintenant !
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Ice Boating" est une des quatre couvertures que Fischer réalisa pour "Country Gentleman". Voici
les trois autres.
Elle représente une course de bateaux sur glace, sorte de mélange de char à voile et de régates sur glace.
Ce sport très ancien perdure encore là où de grandes étendues gelées apparaissent l'hiver. Les chars peuvent atteindre 170 km/h !!!
Retrouvez sur ce blog d'anciens "Ice Boats" en train de s'affronter sur l'eau gelée !
Et en plus dans ce N° de Country Gentleman, Rockwell illustre une nouvelle d'Harold Titus intitulée "The Bell on Hag's Teeth" avec deux illustrations d'une fortune de mer, comme savait les peindre Fischer!
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1935 03 30 Anton Otto Fischer Portrait
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